Les aléas de la vie vont et viennent. Ce n’est pas rose tout le temps. Parfois on rit, parfois on pleure. Parfois on s’aime, parfois on se sépare. La vie n’est pas n’est pas un long fleuve tranquille… Dieu merci!
Cependant, même si on finit par se dire qu’ainsi va la vie, que tout arrive pour une raison, il arrive un moment où on accuse le coup, on prend une claque en pleine gueule, où on sent le poignard déchirer les entrailles. Oui, il arrive un moment où le monde s’effondre et s’affaisse sous nos pas.
Il est normal de pleurer, de se sentir dupé(e), d’avoir l’impression que l’on a raté quelque chose et que l’on a raté sa trajectoire. Il est normal de se ressasser les événements, de se sentir mal, de s’en vouloir à cause d’un échec, de reparcourir le film du râteau, essayer de comprendre ce qui s’est passé.
Cela peut prendre du temps, parfois on adore se morfondre, se rouler dans la boue et dans sa propre merde, se dire que le monde est injuste, que l’Univers nous a oublié, mais quel que soit le cas, on doit se relever et se dire :
Nous ne pouvons pas nous payer le luxe d’être malheureux tout le temps
Paulo Coelho, Le Zahir
Car il faut se lever et avancer, grandir, que de ce malheur sorte quelque chose de bon. Aussi profonde soit votre nuit, ne n’oubliez pas!
Je vous laisse un marque – page que j’ai fait rien que vous.
On a qu’une vie, ne la ruinez pas à être malheureux tout le temps!
Choisir le bonheur, malgré tout…