Je voudrais vous parler d’un temps que les plus de 80 ans ne peuvent pas connaitre, d’un temps où les hommes ont décidé de revendiquer leur quota de genre dans le jeu des calculatrices et autres subterjuges pour vivre aux crochets frais de la princesse.
Prière de ne pas me parler de certaines traditions où c’est la femme qui apporte rente, dot, et autres cagnottes comme contributions. Dans notre contexte africain, comme certains aiment bien nous nous le rappeler, c’est à l’HOMME (individu de sexe masculin) de pourvoir aux destinés de la vie de couple. C’est la Tradition, l’usage, la mémoire collective ou pour certains la religion qui l’a codifié ainsi. C’est à l’homme, oui détenteur du St phallus de pourvoir aux besoins de la femme, ce cher sexe faible.
Petite note de recadrage: j’en vois se demander si c’est moi (Leyopar, la féministe) qui écris ce papier. Je puis vous l’affirmer! Moi, Leyopar, en pleine possession de mes capacités mentales rédige ce pamphlet à l’égard des hommes qui adorent gonfler leur poitrine, jouer la carte du Dieu Suprême et qui n’hésitent pas à taper dans le porte feuille de XY. J’ai une sainte horreur de ca! Mais comme d’habitude je digresse!
Avant et aujourd’hui encore, le terme consacré pour désigner une femme VENALE au Cameroun est PANTHERE: c’est une femme matérialiste qui n’a d’yeux que pour votre porte- monnaie (better je ne dis rien). Et pourtant, plus le temps passe plus nos congénères masculins eux aussi ont décidé de faire les poches aux belles demoiselles qui bien souvent en recherche d’affection et d’amour inconditionné se laissent poudrer les yeux et se font vider les poches.
Le marché est saturé et tout le monde veut sa part; pourquoi pas les hommes? Beaucoup vous diront que c’est de bonne guerre! Vu que « comparaison est raison » ils peuvent aussi avoir des relations tarifées ou gratifiées. Quoi? C’est n’est pas ça? Je vous choque?
Si mes souvenirs sont bons, se mettre en couple en espérant avoir des compensations n’est pas un échange de bons procédés ou encore un retour d’investissement mais tout simplement de la prostitution.
Mais de vous à vous, si gigolo apparaît dans vos vies, c’est que d’une façon ou d’une autre vous avez prêté le flan. Pourquoi ?
– Vous êtes une femme hyper indépendante, vous clamez haut et fort que vous n’avez pas besoin qu’un homme vous gère; à tous les coups vous attirerez un profitard.
– Vous avez l’air tellement désespérée que vous donnez l’impression d’être une femme qui a besoin qu’on lui rende service.
Quelque soit le cas, vous avez des sous, êtes vulnérables et renvoyez l’image d’une femme aux abois.
Comment le repérer ?
– Il sera tellement en confiance qu’il pourrait vous demander d’entrée de jeu, une certaine somme.
– Il vous parlera assez souvent de ses problèmes sans en avoir l’air.
Si vous avez l’impression de payer contre des services comme dit mon ami Arsène « Si les go là ont des gigolos, qu’elles les plaquent et puis c’est tout ! »
Bonnes fêtes de fin d’année. 😉
Voilà le travail! lol Merci Ma’a de ne pas avoir ndem le thème-ci ^^
Voilà, les gars ont mis en application le principe de l’égalité des genres hahaha.
J’aime beaucoup le côté « mode d’emploi » de l’article, bien que, (mal)heureusement, les femmes qui entretiennent ces gigolos, soit elles sont trop amoureuses pour se rendre compte qu’elles gèrent ces hommes,soit elles en sont conscientes et assument, tout simplement
Celles qui le font sont cruellement en manque de quelque chose et se sentent redevables. Pour d’autres par contre c’est échange de bons procédés….
La photo!! LA PHOTO!!
[…] Leyo, mon coup de cœur (Ma’a, I’m gonna miss you !) […]
les vieilles ridées sur la photo, doivent payer onong 🙂
😂😂😂😂😂😂😁😂😂
Je te cite : « C’est à l’homme, oui détenteur du St phallus de pourvoir aux besoins de la femme, ce cher sexe faible. » L’éternel débat ! miss @leyopar, n’allons nous pas en grandes enjambées vers l’égalité des sexes ? Cette notion de la femme assistée selon une certaine afrique est « hasbeen », C’est deux mains qui emballent bien une boule de koki. Pour reprendre la célèbre expression ; « c’est du donnant, donné » je te donne aujourd’hui, tu donneras demain.